Comme avec les êtres humains, Malel trouve dans les paysages des raisons d’être optimiste sur cette terre.
Dans des représentations de forêts, de chemins, de rivières, de montagnes, d’océans, de ciels, il parle de toutes les raisons d’espérer qui se trouvent sur cette terre . Les trésors visibles rappellent que la beauté et le bonheur sont là et possibles. L’eau d’une rivière qui coule rappelle que les soucis peuvent s’écouler, que la Vie peut nettoyer. La chaleur possible des relations humaines se lit dans un ciel ensoleillé. La variété des couleurs des arbres sensibilise d’une manière détournée à la variété des caractères des personnes. Il n’y a pas qu’une seule espèce de fleurs comme il n’y a pas qu’une seule psychologie.